La Table Ronde 1 - COP21 : Des Problèmes... et des Solutions, a été animée par la professeur en sciences économique, et éditeur en chef de la revue IJSD (
International Journal of Sustainable Development) : Madame Sylvie FAUCHEUX
- "Les Innovations en Marche : la Ville de Demain comme Solution à la Lutte Contre le Changement Climatique" , Monsieur Carlos MORENO, (professeur et conseiller scientifique). Mettre en place des système d'intelligence, des projets transverses et innovants autour des territoires à énergie positive .et dont la principale intégration passera par la ville, ce qu'on appelle Smart-City, et donc les secteurs les plus concernés sont par ailleurs ceux qui sont les plus émetteur du gaz à effet de serre comme le transport les bâtiments, la production d'énergie…
- "La Mesure et l’Action : Enjeux de la Qualité de Connaissances pour Naviguer dans la Complexité de la COP21", Monsieur Marc HIMBERT ( professeur du Cnam). Le réchauffement climatique est une catastrophe écologique : qui tend à désynchroniser, désorganiser et à détruire un écosystème.et comme résultat il y aura un manque d’eau, de végétation, de nourriture... Donc une catastrophe écologique qui entraînera une catastrophe sociale, et bien évidemment une catastrophe économique.
- "Enjeux Climatique et Géopolitiques de la COP21" , Monsieur Hervé LETREUT, (directeur de l’IPSL (Institut Pierre Simon Laplace)). Le changement climatique est un amplificateur de menaces sociétales et économiques. Il influe même sur la géopolitique moderne, touchant prioritairement les pays les moins avancés (Migrations, accès aux ressources...)
- "La Gouvernance Verte comme Méthode de Gouvernement : Enjeux de la COP22", Monsieur Yvon PESQUEUX (professeur titulaire de la chaire développement des systèmes). Il explique la gouvernance comme un outil pour coordonner les nombreux types d'acteurs (Etat, secteur privé, etc.), puis il explique différentes hypothèses sur la gouvernance verte. Dans la première, il l’a comparé comme une méta-gouvernance qui doit être intégrée dans l'économie libérale. Et dans la seconde il l’a défini comme une gouvernance de l'État qui ne fonctionne qu'avec des questions restrictives.